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  • Watch Online / Danse pour les temps modernes (1987)



    Desc : Danse pour les temps modernes : réalisé par Moze Mossanen. Avec Danny Grossman. « Dance for Modern Times » est un long métrage documentaire explorant le monde de la danse contemporaine à travers le travail de six chorégraphes canadiens de renom. Le travail de James, Kudelka, Danny Grossman, Christopher House, David Earle et Ginette Laurin est présenté dans un film haut en couleur de 77 minutes révélant la grande richesse de la culture de la danse au Canada. Raconté sous la forme d'un journal personnel par le réalisateur Moze Mossanen, le film présente certaines des réalisations les plus marquantes de la danse moderne canadienne et espère parvenir à une compréhension et une appréciation non seulement de la danse contemporaine, mais aussi de la danse en tant que plus grand mode d'expression artistique. Les chorégraphes et les œuvres présentés dans le film représentent une incroyable diversité de la danse au Canada qui, au fil des années, a reçu des réponses enthousiastes tant du public que des critiques. Englobant de nombreuses idées et thèmes sur les temps modernes, chacun des artistes présentés démontre un style personnel unique : le surréalisme fantastique de Ginette Laurin, l'élégance lumineuse de David Earle, le cinétique de Danny Grossman et Christopher House et l'émotivité dramatique de Kudelka. Le film est en effet l'occasion de partager avec six artistes formidables un éventail de mouvements qui constituent la pierre angulaire de la culture de la danse canadienne contemporaine, et une exploration de la nature de la chorégraphie, offrant de nombreuses variations d'un style qui a grandement marqué l'art. du vingtième siècle. Les œuvres chorégraphiques présentées dans le film incluent « Glass Houses » de Christopher House, une aventure à mi-chemin de mouvements rapides, dynamiques et risqués ; « Full House », les réflexions de Laurin sur la vie dans les années 1950 ; « In Paradisum », la diffusion révolutionnaire de Kudelka sur une vie qui passe ; « Sacra Conversazione », la brillante interprétation d'Earle du « Requiem » de Mozart ; et « Espèces en voie de disparition », le portrait dévastateur de Grossman sur les horreurs de la guerre.